Pitaro Miura
Chromotouch
Messages : 54
Date de naissance : 24/12/1989
Age : 34
Localisation : Là où je suis
Emploi/loisirs : Ce que je fais......vous vous posez la question hein ?
Humeur : Pensif...
 |  Sujet: Life is a game...you're the victim - Pitaro Miura  Sam 12 Jan - 17:16 | |
| Pitaro Miura Identité | Date de naissance : 24 décembre 1989
Lieu de naissance : Hiroshima, Japon
Sexualité : Pansexuel
Qualités : Intelligent, minutieux, prudent, charismatique et créatif.
Défauts : Solitaire, froid, insensible, maniaque et manipulateur.
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On peut dire de Peter qu'il est agréable à regarder. Good-looking. Et il le sait, évidemment. Chevelure brune et soyeuse sur une peau pâle, il l'arrange selon ses envies, alternant entre coupe soignée et coupe négligée. Il a des yeux étrangement grands pour un japonais pure souche et son nez rond a fait se pâmer de nombreuses amies de sa mère quand il était bébé. Mais la partie de son visage qu'on regarde le plus, c'est sa bouche. Un vrai appel à la tentation et au vice. Charnues et pleines, ses lèvres sont le fantasme de nombreuses femmes...et de nombreux hommes. Rien que de les mordiller pensivement quand il est concentré sur son travail peut faire s'évanouir toutes les filles près de lui.
Il a également un corps qu'il travaille beaucoup. Son régime alimentaire est stricte et il ne s'autorise aucun travers : pas de grignotage dans la journée, donc, même s'il lui arrive d'avoir faim ! Il fait du sport. Enfin...principalement de la musculation dans sa chambre. De temps en temps il aime sortir courir pour se vider la tête. La sensation d'être à l'aise dans son corps par la suite est bénéfique.
Son calvaire ? Ses épaules. Tombantes, malheureusement. Des tonnes de gens lui disent que c'est mignon...Pi n'a pas envie d'être "mignon" ! Il veut être un homme ! Et on peut dire que pendant un long moment, cette partie de son corps a été son plus grand cauchemar. Maintenant il n'y fait presque plus attention mais gare à celui qui le lui fera remarquer...
Il porte de temps en temps une boucle d'oreille à l'oreille gauche et un piercing au nombril, quand l'envie l'en prend.
On le voit le plus souvent habillé d'une chemise qui cache un marcel, blanc la plupart du temps. Son aspiration professionnelle étant, il fait très attention à son look sans pour autant être farfelu ou unique.
 Décrire Pitaro est plutôt simple...il est mi-ange, mi-démon. Non. C'est un démon déguisé en ange. Quand il est devant des personnes importantes pour lui, ou pour sa carrière et ses études, il est toujours agréable, souriant, poli, à la limite de l’énervant. Il est respectueux des autres et modeste. Parler à la gente féminine ou aux bureaucrates est une seconde nature...mais tout cela ce n'est que de l'apparence ! Il n'est rien de tout ça, ou du moins ce n'est qu'une petite partie de sa personnalité. En réalité c'est quelqu'un de cassant et méchant, tout en restant poli. Il lance très souvent des piques aux autres sans aucune considération pour leurs sentiments. Il s'estime franc alors que d'autres appelleront ça autrement ! Etant le roi du mensonge et des faux semblants, il repère très bien ceux des autres. Il n'accepte les critiques que si on les dit en face de lui et, encore, vous risquez de vous prendre une avalanche de paroles plus cinglantes et acides les unes que les autres ! Qui blesseront votre égo et raviveront le sien. Cependant c'est un homme qui n'en vient jamais aux mains. En effet, il déteste la violence, allez savoir pourquoi...Peut-être parce qu'il a baigné dedans étant petit et en a été la victime. Le faux semblant est donc son mot d'ordre. Il change de partenaire comme bon lui semble, même si, au final, il n'en a pas tant que ça. Oui, il ne s'encombre pas de quelqu'un, ayant trop à penser et à faire pour cela ! Disons...qu'il sait utiliser son physique quand il le faut. Il n'est donc romantique que par intérêt. Comme vous l’aurez deviné, il n'est pas timide du tout, sait s'imposer et faire valoir ses idées, la parole étant son point fort. Il a un charisme fou et sait s'en servir, pour "martyriser" les personnes qui l'entourent, quoique gentiment. Ses ennemis, il fait très attention à eux. Voire, il les garde à porté de main pour que le moindre de leur geste ne lui échappe pas. Très calculateur, certaines personnes pensent qu'il n'a aucun sentiment, ce qu'il réfute. Pitaro pense avoir des sentiments, mais estime qu'ils sont différents de ceux qu'on attendrait qu'il ait. L'amitié c'est un peu plus dur. Pour qu'il soit ami avec quelqu'un, il faut que cette personne le mérite et il ne lui fera jamais de mal. C'est sa façon d'être, il ne touche pas à ses amis. Bon, une petite tape derrière la tête de temps en temps ou une réplique cinglante pour les remettre en place, c'est permis ! Mais il ne sera jamais "vache" avec eux. Justement parce qu'ils sont tellement rares pour lui qu'il ne se permettra jamais de les perdre volontairement. Mais q'il arrive un jour que l'un d'eux le trahisse... Il a beaucoup de principes, malgré ce qu'on pourrait croire. Il n'est méchant ni avec les enfants de moins de 3 ans, ni avec les vieilles personnes. Peut-être à cause de son histoire. Il n'en sait rien. Mais l'homme qu'il est refuse de leur faire du mal. De plus, il est d'une propreté exemplaire. Non...maniaque serait le bon mot. N'ayant pas eu une enfance très..."propre", il a appris à exterminer la saleté sous toutes ses formes. Tout ce qu'il fait est méthodiquement réfléchi en amont. C'est quelqu'un d'exigeant, envers les autres mais aussi envers lui-même. On le considère comme froid, réservé et matérialiste. Il a le sens de l'honneur : il sait ce qu'il vaux, n'a pas honte de son passé et sait très bien se défendre, sa personne ainsi que les valeurs en lesquelles il croit. Personne n'a le droit de le critiquer sur sa naissance, à part peut-être sur le choix de son prénom. Ce qu'il comprend parfaitement ! Il a foi en ses compétences et fera tout ce qui est en son pouvoir pour atteindre ses objectifs. Détail important : il veut toujours avoir raison ET le dernier mot ! Pitaro ne supporte pas les bruits parasites ou trop fort et il lui arrive de ne plus entendre du tout quand il est très fatigué. C'est un problème qu'il a depuis longtemps mais refuse de porter un appareil auditif. Tant qu'il est au calme et dans le silence, ça lui va. Il aime beaucoup la peinture et collectionne les pièces de monnaie, sûrement un réflexe de son passé. C'est quelqu'un de très économe. Enfin, il est fasciné par la création artistique, et notamment celle de vêtements. Il espère devenir le meilleur styliste en donnant le meilleur de lui-même et son esprit créatif sert cet objectif. Il ne le dit à personne, même pas à lui-même, mais il veut devenir le plus renommé pour retrouver ses parents, peut-être, leur faire payer ce qu'ils ont fait. Ou au moins comprendre pourquoi son passé a été ainsi.
Les doigts de Peter sont magiques...et ce n'est pas qu'une façon de parler ! En effet, il suffit qu'il se concentre assez longtemps et qu'il le veuille vraiment pour qu'il puisse changer la couleur d'un objet ou d'une matière rien qu'en les touchant ! Ce don lui est bénéfique comme c'est néfaste pour lui. Car si ça lui permet de changer plus facilement les couleurs des tissus pour créer ses vêtements, ça l'oblige également à se concentrer intensément et pendant très longtemps, ce qui le fatigue énormément. Et de la fatigue résulte sa surdité. S'il travaille toute une journée sur un modèle il se peut que le soir-même, il soit totalement sourd à ce qui l'entoure. Et le lendemain, il entend de nouveau très bien. Il sait que ça vient de là, il en est conscient et fait attention de ne pas trop aggraver son cas. Même s'il n'aime pas entendre les autres, il ne souhaite pas non plus devenir sourd ! Son don, pourtant, lui est très utile et il l'aime...autant qu'il le déteste.
Pendant longtemps Pitaro s'est amusé à dessiner les paysages ruraux d'Hiroshima, parce qu'il s'ennuyait. Puis, arrivé à Viastella il a développé cette activité, jusqu'à se mettre à dessiner les vêtements, et à en créer de lui-même. Il se considère comme un styliste, ou Graphiste de vêtements. Sa manière de procéder ? Il fait déjà un croquis rapide et sommaire sur une feuille blanche, ou la première qui lui passe sous la main, et ensuite il la reproduit sur ordinateur ou sur sa tablette pour l'améliorer, le peaufiner jusqu'à obtenir quelque chose qui lui plait. Et qu'il estime de parfait. Il passe cependant largement plus de temps sur une machine que devant sa feuille de papier, qui ne lui sert que pour la base et quelques détails qu'il supprime ensuite. Un petit brouillon avant le vrai brouillon quoi ! Son esprit regorge d'idées en tout genre si bien qu'il lui arrive d'en avoir mal à la tête !
Le jeune homme s'intéresse également à tout ce qui touche à l'art de la décoration d'intérieure et, s'il n'avait pas choisir le futur métier de styliste, il se serait tourné vers le décoration et le design. Il lui arrive de le pratiquer de temps en temps pour son plaisir personnel et sa propre satisfaction de lui-même.
Je suis né…apparemment à Hiroshima même. D’autres m’ont dit que c’était à Chiba, d’autres ailleurs…en réalité la personne qui m’a trouvé, un vieil homme malade, m'a juste fait déclarer et emmené à l'hôpital. La seule chose qu’il a laissé entendre à mon sujet, et dont il semblait certain, c’était que je m’appelais Pitaro. Pas moyen de savoir si c’est le vrai nom que mes parents m’ont donné, ou si c’est une des fantaisies de cet homme malade et apparemment fou. Toujours est-il que je me suis retrouvé affublé de ce prénom quelque peu ridicule, quand on y réfléchit.
Après ça on m’a placé en orphelinat, ne sachant pas encore très bien quoi faire de moi. Je me suis retrouvé entouré alors d’enfants dans le même cas que moi : sans parents. Pour autant nous ne sommes pas vraiment devenus amis, ou frères et sœurs. J’y suis resté de mes quelques mois à mes 5 ans et pendant cette période je ne me suis fait véritablement que quelques amis. Mais des amis chers, ceux sur lesquels vous pouvez forcément compter. On ne se voit pas forcément souvent et durant notre enfance il nous est arrivé de nous disputer à forts cris, mais ils ont marqués ma vie d’enfant à l’orphelinat. Quand j’essaye de me souvenir de cette période, je ne vois qu’eux, nos fous rires et surtout nos bêtises, nos excès de colère et nos jeux. C’était bien. Pas la meilleure période de ma vie mais une bonne période.
Parce que la suite fut tout de suite moins joyeuse. A partir de 4-5 ans, on a commencé à me chercher une famille adoptive et, contrairement à ce qu’on pouvait penser, cette perspective d’une nouvelle famille ne m’enchantait guère. Comme la plupart d’entre nous, j’étais bien à l’orphelinat. Mais il fallait « faire de la place » pour les nouveaux arrivants –c’est fou comme on peut abandonner facilement un enfant !- et je n’ai pas eu le choix. Le plus dur fut peut-être de laisser derrière moi 5 années de vie et de souvenirs, ainsi que mes seuls amis dans la vie. Ma première famille était composée de deux parents, un homme et une femme, ainsi qu’un enfant, un garçon de 2 ans mon aîné. A peine arrivé, il me fit la misère, jaloux sûrement que je vienne prendre sa place dans le cœur de ses parents. Il me fit les pires crasses au monde mais peut-être devrais-je le remercier ? Car grâce à lui je me suis encore plus endurci et toute envie de famille a disparu de mon être. Je suis resté 6 mois avec eux, 6 mois seulement oui. Et essentiellement parce qu’à la fin, j'ai commencé à me venger de lui en étant à mon tour méchant. Sauf que c'était plus évident et moins discret que lui ! La famille m’a renvoyé sans prendre en compte que leur fils m’avait fait bien pire que cela ! Mais bref. Je n’étais pas mécontent de m’en aller. Je pensais d’ailleurs, pauvre naïf que j’étais encore, que j’allais retourner à l’orphelinat. Mais non.
On me trouva rapidement une autre famille, peut-être pas pire que la première, mais pas mieux non plus. Il n’y avait que deux adultes et, si je me souviens bien, il n'y a jamais eu aucun problème avec eux. Ils me laissaient faire ce que je voulais, la plupart du temps. N'agissaient pas comme des flics. Je pense qu'ils savaient très bien que je n'arriverai pas à les prendre pour mes parents avant longtemps et il semblait que, même s'ils avaient voulu de moi, ça ne les embêtait pas plus que ça. Si je leur dois quelque chose, à eux, c’est mon éducation. Ce sont les premiers à m’avoir vraiment autorisé à aller à l’école et j’ai rapidement rattrapé mon retard sur les autres, jusqu’à les dépasser. Seulement, un peu plus d’un an plus tard à vivre cette vie d’indépendance et de « bonheur », ceux-ci ont décidé de partir vivre à l’étranger mais ne pouvaient pas m’emmener. Encore une fois, j’ai été abandonné. J’avais alors pas loin de 6 ans et m’en sortait très bien tout seul. Cependant à cause de mon âge j’étais obligé d’avoir des tuteurs légaux et pendant les 2 années qui suivirent, je suis passé de familles d’accueil en familles d’accueil, incapable d’en trouver une à ma convenance. Soit ils me prenaient pour un moins que rien en moins de 2 semaines, soit ils se rendaient compte bien vite que je n’étais pas le gentil enfant que je laissais paraitre de prime abord.
Une de mes familles était composée de deux délinquants qui se cachaient bien des autorités administratives, sinon on ne m’aurait pas confié à eux ! D’eux aussi, comme les autres, j’ai beaucoup appris. Le self-control, l’esprit calculateur, l'importance de l'argent et de l'épargne, le désintérêt des soucis humains, le mensonge et le jeu de masque…c’est grâce à eux que je suis ce que je suis aujourd’hui. Ça peut paraitre négatif, ça ne l’est pas forcément. Ils se sont fait arrêtés alors que je venais de fêter mes 8 ans. Comment vous détruire un gâteau volé et un anniversaire miteux en quelques secondes…
Puis ma dernière famille. Des riches. Ils m’ont regardé comme ces chiots dans les chenils, me trouvant très mignon petit, sans voir mes crocs naissants. Avec eux j’ai mis en application tout ce que j’avais appris avec ma précédente famille et je peux vous dire que ça a fait fureur. Ils en avaient tellement marre de moi, ne sachant pas comment me parler ou se comporter avec moi, que l’idée même que je m’en aille était devenu un rêve. Je suis devenu leur pire cauchemar pour les quelques mois que notre « union » a duré. Mais pas parce que j'étais un petit garçon turbulent à la langue acérée et aussi froid qu'un bloc de glace, mais parce que ma santé, elle, n'a pas suivie mon évolution. Le médecin m'a diagnostiqué une légère surdité qui pouvait empirer avec le temps, comme rester à ce stade-là. Je n'ai jamais voulu d'appareil auditif, j'étais sûr de ne pas en avoir besoin. Après tout, j'entendais très bien les 3/4 du temps ! Il ne fallait juste pas qu'on tape quelque chose à côté de moi ou qu'on passe son temps à faire cliquer son stylo...mais chose encore plus étrange, j'ai remarqué un jour qu'en me concentrant, je pouvais changer les couleurs des choses autour de moi...Bien sûr je n'en ai jamais parlé à personne...mais c'est bizarre, non ?
J'avais alors 9 ans, ce jour-là. Le jour où nous avons déménagé à Viastella. Je n'avais pas envie de partir du Japon moi, mais à mon âge on ne choisit pas. Mes "parents" m'ont emmené avec eux dans cette nouvelle ville...qui a fini par me fasciner. Elle était tellement belle et rayonnante que mon côté artiste s'est mis de plus en plus à ressortir. Je me suis mis à dessiner en abondance tout ce que je voyais jusqu'à remarquer tous les styles vestimentaires qui foisonnaient à Viastella. C'était magique, magnifique. J'en ai fait mon hobbie, ma passion...puis mon choix d'avenir. Je voulais être styliste. Créer des vêtements pour les voir un jour défiler sur un podium.
J'ai dû faire des pieds et des mains pendant de longues années pour qu'enfin, on me permette d'entrer dans l'école d'art. Et parce que j'avais tellement travaillé à côté que j'avais assez d'argent pour me le permettre. Mon rêve allait enfin devenir réalité !
Mes nouveaux camarades de classes ne savent pas que je suis partiellement sourd. Je m'arrange bien pour que ça ne se découvre pas. Pas parce que j'en ai honte, mais parce que je crains qu'avec ça, on me ferme des portes qui en temps normal m'auraient été ouvertes. De même, je ne raconte rien de ma vie et surtout pas de mon passé aux autres. Ont-ils besoin de le savoir ? Bien sûr que non. Pour eux, je suis l'homme à la fois gentil et méchant. Tous ont appris à connaître mon regard dédaigneux, ma prétention et ma sévérité.
Parce que je compte bien devenir un des plus grands ! Même si pour cela je dois écraser les autres…mais ça ce n’est pas irrévocable, évidemment ! Je sais où est mon intérêt, et il n’est pas dans la destruction de ce qui m’entoure. Toujours est-il que vivre sans vraie famille a toujours été mon quotidien et que je m’en suis très bien sorti ainsi. Pas vrai ? Aujourd’hui je n’ai pas de raison de me plaindre de ma vie. A part peut-être de mon prénom. Pitaro…je l’ai rapidement changé en Peter, avec l’accent anglais ça le fait bien mieux !
Pseudo : Biditoche Âge : 19 ans Comment avez-vous découvert le forum ? : Je connais une admin, c'est bien suffisant xD le reste s'est fait tout seul ^^ (elle m'a supplié de venir) Code du règlement : Validé par Hayden. Un petit mot ? : Hâte de commencer  | |
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